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PÄQUES AU BALCON....
Je vous ai déjà parlé de mon comptable. C’est « monsieur pas de quartier ».
Avec lui, quand on envoie un e-mail, il faut mettre des offres commerciales partout. Ici, là, encore ici et encore là. Ah, une petite dernière pour la route… Et surtout, « jamais rien de gratuit » !
« Si on donne toute cette précieuse information pour rien, comment voulez vous que l'on s’en sorte ! »
Oh ! Je ne le blâme pas, il est parfaitement dans son rôle. Et puis c’est vrai que personnellement, j’ai une petite tendance à ne pas trop compter. Royal au bar, comme on dit.
Mais enfin aujourd’hui, je suis tout seul au bureau…C’est moi qui appuie sur le bouton !
Après tout, c’est Pâques, c’est la fête ! Il y a les cloches (vous en connaissez sûrement autour de vous ), il y a les œufs, et…les petites surprises.
En l’absence de mon comptable, j’ai en effet décidé de vous proposer une offre exceptionnelle pour que vous ne ratiez aucun conseil utile pour votre CIL centre ville.
Ecrivez nous, envoyer des photos, partager à travers ce blog vos vies de quartiers, vos idées...
Le Président
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C EST LES RATS .....SCELERATS
Prenez garde au Rat Scélérat, le bandit de grand chemin ! Le Rat Scélérat était un mauvais nuisible. Il ravissait ce qui lui chantait, et mangeait ce qu’il ravissait. Chevauchant le centre ville parmi les poubelles, il dérobait leurs victuailles des sacs éventrés. Sans jamais prier ni remercier, il prit des mouches à une araignée, du lait à un chat… et même peut être du foin à un cheval ! Jusqu’au jour où il croisa une mouette qui ne possédait rien…et dont il aurait bien fait son dîner ! C’était sans compter sur la ruse de la mouette qui l’envoya balader dans les résidences d’à côté….
Le Président.
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Le changement d’heure pour faire des économies !
Heure d'été, heure d'hiver : quel impact sur la consommation ?
Le système de changement d'heure a été mis en place pour faire correspondre les heures où l'on est actif aux heures d'ensoleillement de la journée, et ainsi réduire les besoins d'éclairage. Il a été instauré dans près de 70 pays, dont la grande majorité se concentre dans l'hémisphère nord.
En ajoutant une heure au temps universel coordonné (UTC) en hiver, soit le dernier dimanche d'octobre, et en ajoutant deux heures en été, soit le dernier dimanche de mars, on vient à repousser la tombée de la nuit et limiter l'éclairage artificiel. Bien sûr cela a pour conséquence de retarder le lever du soleil, mais vu que la majorité des personnes a tendance à se lever tôt (la moyenne française est à 6 h 48), les bénéfices sont bien présents.
Changement d'heure : les économies en chiffres
Il est difficile de convaincre sur le fait que changer d'heure ait un réel impact sur la consommation. D'ailleurs, selon un sondage, plus de la moitié des Français sont défavorables au système, et 66 % n'y croient pas du tout.
le passage vers l'heure d'été et vers l'heure d'hiver permettrait d'économiser annuellement 440 GWh, équivalents à la consommation d'éclairage annuelle de 800 000 ménages. En sachant qu'1 GWh produit 100 g de CO2, les émissions seraient réduites de 44 000 tonnes. Le pic de consommation électrique, qui se situe aux environs de 19 heures, se trouve diminué considérablement grâce à la lumière vespérale ou la lumière du soir. En effet, en favorisant cette tranche horaire mieux éclairée, par le biais du changement d'heure, les besoins en éclairages privés et surtout publics laissent aux sites de production un peu de répit.
On peut considérer ce gain moindre, lorsqu'on s'aperçoit que cela ne représente qu'1 % des 513 000 GWh qui sont consommés par an. Mais moindre ne veut pas dire négligeable. Ce tout petit effort qui conduit vers un résultat bénéfique reste considérable conjugué avec l'avancée technologique qui tend à réduire de plus en plus la consommation. Prenons par exemple le cas des chauffages pourvus de régulation automatique, respectant les consignes de température, qui permettront d'économiser quelque 130 GWh avec le changement d'heure d'ici 2030.
Pour réaliser de réelles économies, il est nécessaire de combiner les astuces et les installations malignes. Il est ainsi conseillé de se tourner vers les équipements moins gourmands en énergie, d'utiliser autant que possible les énergies renouvelables et d'opter pour les lampes dites de basse consommation et les diodes luminescentes, présentes abondamment sur le marché. L'adoption de bonnes habitudes sera également bénéfique à long terme pour votre portefeuille et votre budget.
Bon décalage horaire...
Le Président.
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Casque obligatoire en vélo pour les moins de 12 ans
Encourager l’apprentissage du vélo comme activité physique - excellente pour la santé comme pour la qualité de l’air - nécessite, dès le plus jeune âge, d’adopter les bonnes habitudes de sécurité.
Protéger les plus vulnérables fait partie des priorités du Gouvernement. Ainsi, en application de la mesure n°16 du Comité interministériel de la sécurité routière du 2 octobre 2015 visant à réduire la gravité des blessures au visage et les risques de traumatismes crâniens des enfants pratiquant le vélo, le port du casque à vélo devient obligatoire pour les enfants (conducteurs ou passagers) de moins de 12 ans.
Le décret n° 2016-1800 relatif à cette obligation paru aujourd’hui au Journal officiel a prévu un délai de 3 mois pour que chaque famille puisse avoir le temps de s’équiper correctement. L’entrée en vigueur de cette obligation sera donc effective à compter du 22 mars 2017. Le port du casque à vélo sera obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans aussi bien au guidon de leur vélo qu’en tant que passagers.
Adultes, si vous encouragez vos enfants à pratiquer du vélo, montrez l’exemple !
S’équiper et choisir des équipements de sécurité individuels adaptés, dont le casque à vélo, doit s’apprendre dès le plus jeune âge. Et c’est bien souvent au travers de l’exemple de leurs
parents que les enfants apprennent ou non à s’équiper. À cet égard, il a été constaté que les parents d’enfant équipé de casque sont enclins à en porter déjà un eux-mêmes. Les enfants à vélo doivent donc porter un casque, à plus forte raison parce qu’ils sont inexpérimentés.
Le casque : une protection des risques de blessure à la tête en cas de chute
Les chocs à la tête chez les jeunes enfants peuvent causer des traumatismes plus grave que chez les adultes ou adolescents. Le casque diminue le risque de blessure sérieuse à la tête de 70%, le risque de blessure mineure de 31% et le risque de blessure au visage de 28%. Une étude récente confirme et quantifie le risque de lésions neurologiques dans la tête d’enfant de 6 ans casquée et non casquée. Le port du casque diminue drastiquement le risque de perte de connaissance : à plus de 10 km/h, il passe de 98% dans le cas d’une tête non casquée à 0,1% pour une tête casquée.
La responsabilité de l’adulte est engagée
Si un adulte transporte à vélo un enfant passager non casqué ou accompagne un groupe d’enfants non protégés, il risque une amende de quatrième classe (90 euros).
L’accidentalité des enfants cyclistes
On estime à environ 5,5 millions les usagers vélo occasionnels ou réguliers âgés de moins de 12 ans
L’accidentalité routière des cyclistes âgés de moins de 12 ans concerne 181 enfants en 2015 parmi lesquels 1 enfant a été tué et 170 enfants ont été blessés, dont 71 blessés hospitalisés (ONISR, 2015)
Sur une période de 5 ans (2011-2015), 1 178 enfants de moins de 12 ans ont été impliqués dans un accident de vélo, parmi lesquels 26 enfants ont été tués, 442 enfants ont été blessés hospitalisés, 665 enfants blessés légers et seulement 45 enfants ont été indemnes. 91 % de ces accidents (et 85 % des décès) se sont produits en agglomération (ONISR, 2015)
Une mesure largement adoptée par les États membres de l’Union européenne
Le port du casque est obligatoire pour tous en Finlande et onze pays membres ont rendu le port du casque à vélo obligatoire pour les enfants :
- jusqu’à 10 ans : Malte
- jusqu’à 12 ans : Autriche, Lettonie
- jusqu’à 15 ans : Slovaquie, Slovénie, Suède
- jusqu’à 16 ans : Espagne, Croatie, Estonie
- jusqu’à 18 ans : République tchèque, Lituanie
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ONDES ELECTROMAGNETIQUES: ne pas croire les autorités !
Ondes électromagnétiques : ne pas croire les autorités !
Chère lectrice, cher lecteur
Vous allez bientôt accueillir, si ce n’est déjà fait, un invité permanent à la maison.
Le compteur Linky.
Ce nouveau compteur électrique, qui a la particularité d’être « connecté » et de communiquer avec tous les appareils domestiques, s’apprête à être installé dans 35 millions de foyers français d’ici 2021.
C’est o-bli-ga-toire, c’est gratuit, et évidemment, c’est pour notre bien… enfin, d’après EDF [1].
Remarquez que c’est aussi l’avis que partage l’autorité de régulation, l’AFNAR (Agence nationale des fréquences), puisque, selon elle, Linky n’émet « pas plus d’ondes que n’importe quel appareil électrique : réveil, lampe etc. ».
Comme pour l’amiante, comme pour Tchernobyl, c’est « circulez, y’a rien à voir ! ». Tout va pour le mieux dans le meilleur des ondes :-) .
Le meilleur des (m)ondes ?
À ce jour, 3 millions de compteurs ont déjà été installés.
Maintenant, pour les 32 millions d’autres foyers, il est peut-être encore temps de s’interroger…
Annie Lobé, journaliste spécialisée sur la question des ondes (téléphones portables, antennes relais, etc.) et auteure de nombreux livres sur le sujet, explique quant à elle que Linky « injecte des radiofréquences CPL (courant porteur en ligne, entre 63 et 95 mégaherz) dans tous les câbles et appareils électriques d’une maison ou d’un immeuble » [2].
Or, dit-elle, ces équipements « ne sont pas prévus pour cela, et ne sont pas blindés ».
Le résultat est que les radiofréquences se retrouvent donc dans l’air environnant, « mesurables jusqu’à 2,50 mètres de tous les câbles encastrés dans les murs, les fils électriques apparents et les appareils eux-mêmes, y compris les lampes de chevet ». « Les premiers à lancer l’alerte ont été les radioamateurs, qui ont qualifié le CPL de “cancer des ondes” en raison des brouillages intenses qu’ils constataient sur leurs émetteurs/récepteurs. »
« Cancer des ondes ?!!! »
S’agit-il juste d’une formule pour faire peur ? Pas sûr…
Car si les ondes électromagnétiques sont officiellement encore « inoffensives » (à quand le site officiel jusqu-ici-tout-va-bien. fr ?), un certain nombre de « détails » me font cependant penser que c’est exactement l’inverse :
- En 2004, une étude des chercheurs Magda Havas et David Stetzer [3] décrivait les cas de cinq personnes ayant installé chez elles un appareil permettant de diminuer les courants électromagnétiques dans l'air.
Certaines ont témoigné d'une forte baisse de leurs maux de tête, problèmes de sommeil, anxiété, etc., mais le cas le plus spectaculaire est celui d'une femme de 80 ans souffrant de diabète.
Pour traiter sa maladie, elle devait mesurer son niveau de sucre sanguin (glycémie) chaque matin à 7 heures, avant de prendre son petit-déjeuner, et prendre de l'insuline.
Avant l'installation du filtre, sa glycémie à jeun le matin variait entre 152 et 209 mg/dl, avec une moyenne de 171 mg/dl (Le diabète est défini par un taux supérieur à 126 mg/dl, le prédiabète par un taux de 100 à 125.).
Le lendemain du jour où le filtre fut installé, son taux de sucre à jeun était normal, à 87 mg/dl. Durant la première semaine, sa glycémie à jeun fut en moyenne de 119 mg/dl. Les jours où elle sortait et se rendait dans des lieux publics susceptibles d'avoir de hauts niveaux d'ondes, son niveau de glucose augmentait de façon significative [4] !
- En 2011, le Conseil de l’Europe écrivait : « Les ondes utilisées dans le domaine des radars, de la télécommunication et de la téléphonie mobile semblent avoir des effets biologiques plus ou moins nocifs sur les plantes, les insectes et les animaux ainsi que sur l’organisme humain, même en cas d’exposition à des niveaux inférieurs aux seuils officiels ».
Derrière le langage bureaucratique et prudent, l’avertissement paraît quand même clair : DANGER !!!
- La même année, le Centre International de recherche sur le cancer (qui dépend de l’Organisation mondiale de la santé) classait même les champs électromagnétiques radioélectriques dans la catégorie 2B des agents cancérogènes possibles – tout comme le plomb et le DDT [5].
- En 2012, le rapport du BioInitiative Working Group, qui a analysé plus de 3000 travaux scientifiques indépendants, conclut que l’exposition aux ondes électromagnétiques est responsable d’une augmentation significative des risques de cancer, de perturbation du sommeil, des effets génotoxiques (altération du patrimoine génétique) et de la cataracte, etc. [6]
Et encore, je ne cite là que quelques-uns des risques identifiés dans ce rapport !!!
La journaliste Annie Lobé rapporte pour sa part des faits particulièrement inquiétants, qui se sont déroulés dans une école californienne équipée de compteurs communicants.
« Deux chercheurs américains, S. Milham et L. Morgan, ont publié en août 2008, dans l’American Journal of Industrial Medecine, une étude mettant en évidence une augmentation significative du nombre de pathologies cancéreuses chez les enseignants dans cet établissement.
Sur les 137 recrutés entre 1988 et 2005 dans cette école, 16 étaient atteints de cancer, dont deux de double-cancer aux localisations diverses, parmi lesquelles : thyroïde, utérus, mélanomes malins.
Le risque de cancer corrélé spécifiquement avec l’exposition aux radiofréquences émises par les compteurs communicants était augmenté de 21 % pour une seule année de présence. »
Indice suprême s’il en manquait, les assureurs ont pris soin depuis 2003 d’inscrire noir sur blanc dans leurs contrats qu’ils se désengagent des « dommages de toute nature liés aux champs et ondes électromagnétiques » vis-à-vis des opérateurs de téléphonie mobile.
Les dégâts liés aux ondes sont donc inassurables.
Je ne sais pas vous, mais personnellement je ne trouve pas cela spécialement rassurant.
Alors que faire ?
D’abord s’informer, évidemment.
J’ai cité le travail remarquable d’Annie Lobé, et je vous invite à parcourir son site Internet [7], bourré d’informations utiles.
Suivez aussi l’actualité de votre commune, les positions que soutiennent (ou ne soutiennent pas) vos élus. Sont-ils seulement au courant des risques liés à l’installation de Linky ? Posez-leur la question franchement, et exigez qu’ils vous répondent précisément. Sur ce sujet de santé publique, encore trop d’élus ne sont absolument pas conscients des enjeux.
Récemment, à Melles, dans les Deux-Sèvres, un groupe d'habitants a exigé que la municipalité s’oppose aux compteurs Linky. Et leur ténacité a payé, ils ont déjà obtenu que le conseil municipal demande à l'unanimité qu'aucun compteur ne puisse être posé sans l'accord formel, exprimé en toute liberté, de l'usager concerné [8].
Face aux dangers liés aux ondes, l’inertie (« hâtons-nous surtout de ne rien faire », dit Annie Lobé pour résumer l’attitude des autorités) profite pour l’instant aux industriels qui font le choix d’ignorer les risques pourtant de plus en plus manifestes.
Et pas besoin d’être Madame Soleil pour deviner quelle sera la réaction des autorités sanitaires, dans une décennie ou deux, quand elles avoueront du bout des lèvres qu’elles avaient peut-être « sous-estimé le danger ».
Pour ceux qui préfèrent ne pas prendre le risque, je vous signale aussi la publication dans la revue Révélations Santé & Bien-Être d’un dossier entrièrement consacré au sujet des ondes, avec notamment les 13 mesures à prendre immédiatement pour limiter l’exposition aux ondes.
Le Président
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